Une Corée Comme Un Japon Une Chine et Un monde Arabe

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini

  • Une Corée Comme Un Japon Une Chine et Un monde Arabe

Entre (). Si la vice-présidence est pour Tardieu, le nouveau blvd imaginaire en simulation de conformité politique, en faisabilité parlementaire ; le communautarisme, l’a-t-il consulté, non pas au discours, mais dans les faits ? Ce, à travers la Communauté Haïtienne Internationale dynamisée avec les communautés locales d’intérêts et culturelles, en Haïti. Il nous faut l’autre commission sans ombre ni spectre exclusiviste. Haïti est-elle cette fédération de ? Fermons ().

D’abord, il ne peut y avoir (1) Afrique pour qu’on ne la cite pas, car le monde arabe serait dès lors divisé ou en colonisation en Afrique, dans ma simulation. Ce n’est là un favoritisme un vote arabe, la fiction concerne de préférence deux Corée en une. La Chine est aussi ouïghoure et tibétaine, etc., le Japon a ses distinctions (Anouïs). Le Saxon n’est pas limité, l’Américain a eu le courage de se recréer si différent dans les nuances que Prince Harry doit vouloir s’y exfiltrer. L’Allemagne n’a-t-elle pas fait et réussi l’inversion qui a suivi la WWII au point d’intégrer les immigrants qui se présentent à ses frontières ? La grande Corée serait-elle alors une nouvelle effluence diplomatique en relief dans un monde déraillé développant des monos blocs ou, une réunification familiale, telle l’Allemagne, et c’est la peur qui l’en empêcherait ?

L’Afrique alma mater appartiendrait à tout le monde en ce sens des joutes, car le peuple créolequi se la réclame, est en assemblement, un contexte, en dehors de l’Afrique. Alors, Kim-Jae-in en harmonie, est-ce là le développement d’une ère nouvelle en dehors de la colère du Japon agresseur de l’Amérique, de la Chine, des Corée, il faudrait prendre le temps d’y penser !

Quel rapport avec les peuples créoles (ou venus d’ailleurs) ?

On a vu comme avec l’Angleterre qui existe encore, une grande Amérique qui a émergé, elle a contribué à sauver un rapport d’humanité face à Hitler. Si les peuples créoles formaient une entité, elle dépasserait d’abord la notion de l’Afrique en soit dans son droit qui ne réclame pas d’outremer. Si l’Haïtien se dit « se kreyol nou ye », ce qui lui revient de droit et de naissance, car c’est probablement le seul peuple connu d’aujourd’hui qui s’est créé de cette façon en sa façon, bien que d’un fait pidgin dans son implication originale de colonisé et dans sa genèse postcoloniale, il ne saurait vouloir se redéfinir africain dans le sens de l’UA d’ailleurs si rebattue, biscornue. Dans le sens obligé du créole par l’Haïtien, un peuple créole est en train de se définir, de se reconnaître. Surtout, avec une hégémonie haïtienne reconnue et acceptée. J’irai même jusqu’à dire vertébré, dans la Communauté Haïtienne Internationale en sa composante étendue globalisée, vous entendrez par exemple l’Arabe le Chinois le Français, non pas emprunter des expressions exotiques, mais utiliser certains vocables du créole haïtien pour se faire comprendre, dans le sens utilitaire. Si cela nous amuse parfois, mais c’est devenu un point d’ancrage utilitaire. L’Africain le fait aussi même s’il se l’approprie tandis que certains termes créoles proviennent de langage africain en général et spécifique. Ils sont devenus non pas créoles, mais haïtiens. Ce n’est donc pas un spasme, mais en plein dans l’objet de l’interrogation coréenne uni Céphale. Allons encore plus loin que le postulat dans cette optique incomprise de Césaire 1962, je cite : Négritude : Aimé Césaire & Léopold Senghor 5.06…5 :44/16:21 « vous avez parfaitement raison, je ne suis pas du tout créolisant », « c’est que, j’ai très fort le sentiment de l’infirmité de cette langue qui s’appelle le créole » « une petite langue régionale de portée extrêmement limitée » « et enfin pour en faire une langue extrêmement valable » « il aurait fallu faire sur cette langue, un effort aussi prodigieux que ceux de la Pléiade, ou les hommes du XVIe siècle ont fait du, le français ».

J’apprécie Césaire à la lueur du Cinquantenaire des indépendances africaines (2010), où le poète Césaire est évoqué en modélisation sur la base de « la Tragédie du Roi Christophe », premièrement, mais deuxio sur le vide. Malheureux Césaire ignorant, le Créole a pris le sens de la vie haïtienne que le Brésil interprète dans Psirico Em Salvador, que la Corée du Sud interprète dans « pézé kafé », que le Baldwin Wallace University men’s choir, chante dans « Lemiso Batala sé lwa difé wou yé », des émotions illustrées aussi. Peut-on aller plus loin ?

Allons donc plus loin en patwa avec rastafarian. Dr. N Clarke (Minister Finances & Services Publics) : « Jamaica is Caribean’s star performer » « country is star performer among Caribean economies » « we cannot afford to stop here ». Je l’ai souligné, soulevé la semaine dernière dans la RD en Élections H-O-19/09/2018 P.12, dans Kingston Holness en présidence rotative de la CARICOM en rapport à Haïti insulaire simulée en voisinage immédiat avec rastafarian. Que peut donc vouloir dire Clarke en vertu ou en spasme, à qui de la CARICOM, de Kingston, de toute autre économie émergente de la région en compétition ?

Ma réponse viendrait par Haïti une vision pour carrefour autonome P.58-63 (ouvrage cité plus bas) qui proposait déjà à l’époque un axe bancaire international Carrefour-Kingston-La Havane, conséquent à un développement triangulaire standardisé voué à l’implémentation du voisinage. Ce n’est donc nouveau d’autant plus que je proposais conjointement Haïti Bill Clinton revient pour le développement durable, mais sans les exilés. P.47-52 12-17/08/09 int dochaiti ; pour une maitrise républicaine et insulaire où nous récupèrerions au moins le statut SDN vers l’ONU. Une ONU-pleutre dont le Conseil de sécurité pense pour nous aujourd’hui.

Si nous n’étions pas haïtiens, mais comme Césaire hébergé de la Martinique un vœu pieux, je comprendrais. Césaire vivant serait encore cet hébergé qu’il ne comptât, en ses christophines, dans un débat français concernant une Corée rassemblée chantant malgré tout « pézé kafé ». Non pas que je valide l’élément « pézé kafé », lequel je critique d’ailleurs dans Structure d’Automatisme Pensée Littéraire Haïtienne ou Création du G créole ; es littérature interdite. Mais, c’est un fait avéré qui nous donne le droit au MAE de conforter ou d’in-conforter (1) ou (2) Corée. Même si je ne crois Céant et son nouveau à ce standard. Lequel standard je réclame et propose depuis Haïti la diplomatie d’abord P.53-57 Editor été/13/10/06 in Haïti 2001-2010 reconstruction d’après Nous (intégrant Paul Martin haïtien). Rastafarian est-il si différent de nous, et plus que pedro de la RD, qu’il est un créole concerné, dans cet exercice insulaire d’abord et rotatif ensuite. Imaginons qu’il s’étale ainsi aux historiens, Kingston devenant une république (Portia Simpson Miller), alliée aux Bateys, ou contre le Batey. Nous serions pris au dépourvu chez Holness, confondu entre Corée, Corée, Jamaïque et CARICOM en sus.

Quel est l’intérêt proposé ici ?

J’ai depuis deux semaines ciblé une diligence prématurée de crier victoire pour la commission Tardieu, qui aurait remis un rapport appréciable, d’après la critique retenue. Revenons à l’axe  essentiel qui s’érige autour d’un impératif régalien, Me KM Thermesis, juge en Cassation sera d’accord avec moi puisque cela toucherait la justice aussi, tout membre ambitieux d’un statut international, le Parlement sur cette lancée positive devrait derechef se saisir de l’occasion, puisqu’elles ne sont ni couple ni légion, puisque le MAE du nouveau titulaire en poste parlera de paradigme innové, en une commission spéciale, plus que le souhait du paradigme souhaité exprimé, ouvrir les assises d’un spectre haïtien allant vers, plus qu’un creuset, mais une forge diplomatique haïtienne spécifique moderne au service de la Nation, de l’humanité connue.

Je concède à l’évidence que Tardieu représente une valeur en douane pour le pays, il a besoin de démontrer en outre, à F Voltaire, qu’il a tort de l’infantiliser par : « agenda du Blanc ». Aussi, comme l’ambitieux rastafarisme économique Clarke-Holness avec son plan de réduction de la dette en faveur d’une bourse propre à rastafarian, avoir du ‘zoliv’ à mettre dans blé mondial afin de l’implémenter. Apôtre, être capable de mesurer les (2) Corée dans (1) Grande Corée.

Henri ou Henry Céant en aimant la foudre a virulemment réalisé le vieux rêve de feu notaire Alphonse Salgado, c’est-à-dire de Duvalier un sénateur, donc, sus au retard, le PM de jòv. Ignore-t-il cependant que feu notaire Salgado déçu d’une attente en vain en se voyant partir, a été le bras manipulateur de la chute de Jean-Claude Duvalier par cette phrase énigmatique si curieuse et célèbre à mes tympans : « il faut réduire le p’tit à sa plus simple expression ». À qui parla-t-il, peu importe, Duvalier-Bennett devint une réelle fumisterie aux yeux de l’Américain dit-ami. G Salomon titulaire aux Affaires Étrangères aurait pu témoigner des méandres et des couloirs de la chute dans ses restreintes avec l’ambassadeur Mc Manaway, qu’il s’est estimé un ministre de tutelle réellement tandis que JCD a eu besoin du diplomate pour l’extraire de la gueule édentée de son régime de tortionnaires. Le MAE a été depuis, une boîte sans école où le nom d’un treillis faisait ouvrage et réputation pour se croire un module de diplomatie. Je précise par-là que nul autre n’a semblé apte. G Salomon est ainsi parti sans résultat régalien, et ceux qui le connaissaient savaient pertinemment que ce génie était déjà fatigué de l’œuvre. Lamothe-Martelly dans la formule mensongère était éphéméride en.

La navette Henry-Bocchit est un funambule sur un cordon mou et gare au somnambulisme. Se  prend-on pour école d’un génie de jour, car, vieux routier des mauvais coups en Haïti, moult notaires sont malgré ce cerveau d’actuariat national, ce calculateur froid qui attend victimes et victoire en titre en hectares sur blanc seing dans un coffre-fort, ce n’est pas le creuset de conventions internationales recherché. Jòv à terre gare à Bocchit s’il se croit être l’élu pour ce changement de paradigme, oui souhaité, mais oh combien fastidieux. Si le BE166e arrive à simuler les (2) Corée en (1) grande Corée, faire mentir Césaire, il aura gagné : pari et bataille.

La nôtre aussi !


cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur, édition du 26 septembre 2018 et se trouveen P. 12 à : http://haiti-observateur.org/wp-content/uploads/2018/09/H-O-26-Septembre-2018.pdf